FLASHBALL : le procureur requiert le non lieu dans l’affaire Casti ! ACAB !

Casti, qui avait été touché à l’oeil par un tir de flashball à Montpellier, a vu le procureur demandé un non-lieu ce 3 juin. Le dossier médical de Casti a été dérobé, la police a refusé le visionnage des bandes videos et c’est maintenant au juge de décider d’ouvrir une enquête ou du non-lieu ! ACAB ! AJAB !

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http://www.mediaterranee.com/0322014-affaire-casti-un-seul-oeil-pour-pleurer-face-linqualifiable-non-lieu-requis.html

 

Tout ça pour ça ! Près de deux ans après les faits, Casti, ce supporter ultra de Montpellier éborgné par un tir de Flash-Ball dans l’œil en marge du match MHSC-ASSE, le procureur de la République conclut à un non-lieu pour les policiers qui auraient agit, selon lui, en état de légitime défense. Alors que tous les supporters présents affirment l’inverse avec force, et aux yeux de tous, depuis le début… – See more at: http://www.mediaterranee.com/0322014-affaire-casti-un-seul-oeil-pour-pleurer-face-linqualifiable-non-lieu-requis.html#sthash.EGFe8AjW.dpuf

Tout ça pour ça ! Près de deux ans après les faits, Casti, ce supporter ultra de Montpellier éborgné par un tir de Flash-Ball dans l’œil en marge du match MHSC-ASSE, le procureur de la République conclut à un non-lieu pour les policiers qui auraient agit, selon lui, en état de légitime défense. Alors que tous les supporters présents affirment l’inverse avec force, et aux yeux de tous, depuis le début…

« Une justice à deux vitesses », dénonçait Me Corbier dans nos colonnes, en janvier dernier. Casti a été officiellement informé de cette réalité hier, par ses avocats Me Phung et Me Corbier qui planchent actuellement sur la missive à adresser au juge, en complément des conclusions du procureur de la République.

Après lecture de ces deux notes, le juge tranchera : soit il conclura à un non-lieu qui sera marqué de toutes les suspicions possibles et imaginables et dans cette hypothèse là, on n’a pas fini d’entendre et de voir des « ACAB » dans les tribunes des supporters ultras, soit il demandera l’ouverture d’un procès équitable pour faire toute la lumière sur cette sordide affaire. Contacté hier par Médiaterranée, comme le cabinet Phung, Casti a commencé aujourd’hui par lâcher ces premiers mots, avec une désespérance et une souffrance inqualifiable : « ce qui devait arriver arriva, je sentais qu’on allait avoir une mauvaise nouvelle… »

Ambiance

Chat échaudé craint l’eau froide… Après avoir constaté que son dossier médical avait été dérobé au CHU de Montpellier, puis que les demandes effectuées par son cabinet avocat concernant le visionnage des images de la vidéo-surveillance avait finalement échoué, alors qu’elles avaient été validées par le précédent juge en charge de l’instruction et qu’aucun policier n’a jamais été mis en examen dans cette affaire, Casti n’est pas vraiment étonné par cette décision radicale prise par le procureur de la République. D’autant que pendant longtemps, tout a été fait, en vain, pour dédouaner le tir de Flash-Ball au profit d’un éclat de bombe de désencerclement, ce que le médecin- légiste a formellement écarté dès ses premières constations, constatations qu’il a ensuite couchées sur le papier.

Aujourd’hui, Casti espère ardemment que le juge ouvrira ce procès qu’il attend tant, car il reste son seul espoir de ne pas vivre toute sa vie avec le sentiment que son œil et son existence ne valent rien : un procès pour une véritable compréhension des faits et de tous les faits. On ne peut que le comprendre…

– See more at: http://www.mediaterranee.com/0322014-affaire-casti-un-seul-oeil-pour-pleurer-face-linqualifiable-non-lieu-requis.html#sthash.EGFe8AjW.dpuf

Tout ça pour ça ! Près de deux ans après les faits, Casti, ce supporter ultra de Montpellier éborgné par un tir de Flash-Ball dans l’œil en marge du match MHSC-ASSE, le procureur de la République conclut à un non-lieu pour les policiers qui auraient agit, selon lui, en état de légitime défense. Alors que tous les supporters présents affirment l’inverse avec force, et aux yeux de tous, depuis le début…

« Une justice à deux vitesses », dénonçait Me Corbier dans nos colonnes, en janvier dernier. Casti a été officiellement informé de cette réalité hier, par ses avocats Me Phung et Me Corbier qui planchent actuellement sur la missive à adresser au juge, en complément des conclusions du procureur de la République.

Après lecture de ces deux notes, le juge tranchera : soit il conclura à un non-lieu qui sera marqué de toutes les suspicions possibles et imaginables et dans cette hypothèse là, on n’a pas fini d’entendre et de voir des « ACAB » dans les tribunes des supporters ultras, soit il demandera l’ouverture d’un procès équitable pour faire toute la lumière sur cette sordide affaire. Contacté hier par Médiaterranée, comme le cabinet Phung, Casti a commencé aujourd’hui par lâcher ces premiers mots, avec une désespérance et une souffrance inqualifiable : « ce qui devait arriver arriva, je sentais qu’on allait avoir une mauvaise nouvelle… »

Ambiance

Chat échaudé craint l’eau froide… Après avoir constaté que son dossier médical avait été dérobé au CHU de Montpellier, puis que les demandes effectuées par son cabinet avocat concernant le visionnage des images de la vidéo-surveillance avait finalement échoué, alors qu’elles avaient été validées par le précédent juge en charge de l’instruction et qu’aucun policier n’a jamais été mis en examen dans cette affaire, Casti n’est pas vraiment étonné par cette décision radicale prise par le procureur de la République. D’autant que pendant longtemps, tout a été fait, en vain, pour dédouaner le tir de Flash-Ball au profit d’un éclat de bombe de désencerclement, ce que le médecin- légiste a formellement écarté dès ses premières constations, constatations qu’il a ensuite couchées sur le papier.

Aujourd’hui, Casti espère ardemment que le juge ouvrira ce procès qu’il attend tant, car il reste son seul espoir de ne pas vivre toute sa vie avec le sentiment que son œil et son existence ne valent rien : un procès pour une véritable compréhension des faits et de tous les faits. On ne peut que le comprendre…

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Tout ça pour ça ! Près de deux ans après les faits, Casti, ce supporter ultra de Montpellier éborgné par un tir de Flash-Ball dans l’œil en marge du match MHSC-ASSE, le procureur de la République conclut à un non-lieu pour les policiers qui auraient agit, selon lui, en état de légitime défense. Alors que tous les supporters présents affirment l’inverse avec force, et aux yeux de tous, depuis le début…

« Une justice à deux vitesses », dénonçait Me Corbier dans nos colonnes, en janvier dernier. Casti a été officiellement informé de cette réalité hier, par ses avocats Me Phung et Me Corbier qui planchent actuellement sur la missive à adresser au juge, en complément des conclusions du procureur de la République.

Après lecture de ces deux notes, le juge tranchera : soit il conclura à un non-lieu qui sera marqué de toutes les suspicions possibles et imaginables et dans cette hypothèse là, on n’a pas fini d’entendre et de voir des « ACAB » dans les tribunes des supporters ultras, soit il demandera l’ouverture d’un procès équitable pour faire toute la lumière sur cette sordide affaire. Contacté hier par Médiaterranée, comme le cabinet Phung, Casti a commencé aujourd’hui par lâcher ces premiers mots, avec une désespérance et une souffrance inqualifiable : « ce qui devait arriver arriva, je sentais qu’on allait avoir une mauvaise nouvelle… »

Ambiance

Chat échaudé craint l’eau froide… Après avoir constaté que son dossier médical avait été dérobé au CHU de Montpellier, puis que les demandes effectuées par son cabinet avocat concernant le visionnage des images de la vidéo-surveillance avait finalement échoué, alors qu’elles avaient été validées par le précédent juge en charge de l’instruction et qu’aucun policier n’a jamais été mis en examen dans cette affaire, Casti n’est pas vraiment étonné par cette décision radicale prise par le procureur de la République. D’autant que pendant longtemps, tout a été fait, en vain, pour dédouaner le tir de Flash-Ball au profit d’un éclat de bombe de désencerclement, ce que le médecin- légiste a formellement écarté dès ses premières constations, constatations qu’il a ensuite couchées sur le papier.

Aujourd’hui, Casti espère ardemment que le juge ouvrira ce procès qu’il attend tant, car il reste son seul espoir de ne pas vivre toute sa vie avec le sentiment que son œil et son existence ne valent rien : un procès pour une véritable compréhension des faits et de tous les faits. On ne peut que le comprendre…

– See more at: http://www.mediaterranee.com/0322014-affaire-casti-un-seul-oeil-pour-pleurer-face-linqualifiable-non-lieu-requis.html#sthash.zDoUuP5L.dpuf